• Différentes façon de publier un livre !

    Différentes  façon de publier un livre !

     

    Je vous présente un article qui vous explique les différentes façons de se faire publier mais également ce qui existe dans chaque type de maison d’édition.

    Toutefois, avant de partir à la chasse aux maisons d’édition, il est important de se poser des questions, que je ne m’étais pas posée avant. Cela vous permettra de savoir ce que vous voulez vraiment et aussi de savoir, vers quoi vous orienter.

     

    Quelles questions se poser avant de chercher une maison d’édition !

     

    Il faut déjà savoir que vouloir se faire publier de telle ou telle façon est avant tout un choix. Il n’est en aucun cas obligatoire de devoir synthétiquement passer par une maison d’édition pour se faire lire, surtout avec les possibilités numériques d’aujourd’hui. Il est devenu très facile de tout faire depuis chez soi et d'enfin pouvoir tout gérer sans souci !

    Votre choix doit être mis en évidence par rapport à ce que vous voulez vraiment faire de votre roman, d’où ce questionnement important avant le grand saut.

    -          Pourquoi je veux me faire publier ? (pour de l’argent ?  Pour partager ma passion ?  Pour la gloire ?....)

    -          Qu’est-ce que je veux tirer de cette expérience ?

    -          A qui est-ce que je veux adresser mon ouvrage (seulement ma famille ? la France ? le monde  entier ?)

    -          Suis-je suffisamment mûr pour accepter les critiques de la presse ?

    -           Est-ce que je suis prêt à engager une somme d’argent pour me faire publier ? (toute forme demande de l’investissement)

    -          Est-ce que mon œuvre vaut la peine de prendre tant de temps pour avoir une version en livre ?

    -          Suis-je capable de supporter que quelqu'un d’autre que moi gère mes œuvres?

    -          Est ce que je suis capable de supporter le regard des autres par la suite, ainsi que la pression que cela peut générer ?

    Après s’être posé ces questions, vous pouvez savoir si vous êtes plus à l'aise avec l'auto-édition, une maison d'édition, ou si ni l'un, ni l'autre ne vous tentent vraiment.

     

    Comment fonctionne une maison d'édition?

     

    Sauf pour l'auto-édition qui permet de tout faire soi-même dans la plus grande liberté, les maisons d'édition proposent des contrats !

    Déjà, certains d'entre vous se demandent peut-être pourquoi ils ont eu un refus de telle ou telle maison d'édition. Il faut savoir qu'une maison d'édition ne se base pas seulement votre texte mais sur une multitude de détails qui bien entendu, ne seront jamais signalés sur le papier de refus.

    Vous pouvez être refusé parce que :

    - Vous n'êtes pas passé par un professionnel alors que votre français n'est pas au top niveau (les maisons d'édition, même si elles prétendent repasser par un correcteur, aiment bien que ce travail soit déjà quasiment fait !)

    - Votre texte n'est pas original (il ressemble trop à d'autres textes déjà sur le marché)

    - Votre texte est jugé trop mauvais (peut être évité si vous passez par un professionnel qui vous dira tout de suite les défauts de votre texte)

    - Le thème de votre livre n’est pas adapté à la demande actuelle alors il préfère ne pas prendre le risque (cela vaut pour ceux qui tentent dans une maison d’édition, qui reçoivent un refus, puis quelques mois plus tard sont finalement acceptés)

    - Vous n'êtes pas assez connue : "Publier un ouvrage chez un grand éditeur représente le rêve de tout écrivain.
    Mais s’il est agréable de rêver à une gloire potentielle, la réalité correspond en général à un rejet des ouvrages écrits par des inconnus (99 %), les grands éditeurs évitant tant que faire se peut un risque commercial."


    Si votre texte est validé, il faut savoir que ce sera à durée déterminée ! Vous pouvez avoir des contrats de deux ou trois ans (suivant la maison d'édition) qui mettront à l'épreuve vos textes. Ce qui veut dire que si la maison d'édition juge que votre œuvre ne s’est pas bien vendue, ils arrêteront la vente et stopperont le contrat ! Dans le cas contraire, ils continueront en renouvelant le contrat une nouvelle fois à durée déterminée jusqu'à ce qu'il ne se vende plus comme ils le souhaitent.

    Ce qui veut dire que même une fois accepté, rien n'est encore gagné!

     

     

     

    Les différentes maisons d’édition

     

    Il existe trois différentes formes de maisons d’édition.

    Vous trouvez un peu partout sur le web des articles du genre, mais beaucoup manquent  cruellement d’informations. Pour résumer les autres articles, on peut dire que l’auto-édition c’est pour les désespérés, l’édition à compte d’édition est le top et l’édition à compte d’auteur le diable en personne. Je peux vous affirmer qu’en quelques mois de recherche et de questionnement d’auteur auprès des maisons d’édition, ces stéréotypes sont faux ! Il y a des maisons d’édition à compte d’édition qui arnaquent et des maisons d’édition à compte d’auteur qui font leur travail comme il le faut.

    Sur chaque type de maison d’édition,  je vais vous décrire ce que tout le monde écrit, et par la suite, ce que tout le monde désire cacher ou oublier de vous signaler.  Certaines informations viennent directement des maisons d’édition questionnées, voire d’auteurs rencontrés lors de mes manifestations ou d'aveux sur le net.

     

    Avant de continuer à lire, ce qui suit est un regroupement de tout ce que j'ai vu et entendu de la part de maison d'édition et d'auteur. Si vous êtes vous même auteur et que votre maison d'édition vous convient tant mieux, mais cette article previent juste de ce que peuvent faire certaine maison d'édition et que tous ne sont pas tout doux, tout gentil comme certain le pense, il existe de tout, alors mieux vaut être avertie. Merci de votre compréhension.

     

    Maisons d’édition : Auto-Edition

     

    Ce que l’on retrouve partout : Il s'agit d'une alternative à l'édition classique où des écrivains choisissent d'être leur propre éditeur. Cela suppose de la part de l'écrivain, beaucoup d'implication dans des secteurs inhabituels pour lui. Outre le fait qu'il doit écrire son livre, il doit aussi se charger des corrections, des différentes relectures, du formatage de son document, des formalités légales et suivant le type de diffusion choisi, de l'impression, du stockage, de la vente de son livre et de sa promotion.

    Ce qu’on oublie de vous dire : Ce que l’on oublie de signaler, c’est que certains services de maisons d’auto-édition proposent de tout faire contre monnaie sonnante et trébuchante.

    Dans ce genre d’offre, on peut vous proposer de tout faire, et même de vous inscrire dans le réseau d’un distributeur pour que les librairies (traditionnelles ou de vente en ligne) vous commandent.

    Information importante :ISBN est indispensable si vous voulez commercialiser vos écrits, sans ce numéro il est interdit de vendre un livre. Il faut également savoir qu’il est gratuit, de ce fait, refusez si on vous le fait payer ! N’oubliez pas aussi que si vous voulez vendre, il faut être inscrit à « la bibliothèque nationale de France »(BNF)

     

    Mon avis :Je trouve que l’auto-édition est la façon la plus simple de se faire publier lorsqu’on veut avant tout partager par passion ses œuvres. De plus pour ceux qui veulent partager leurs œuvres avec leur famille, entourage et avoir pour eux seuls le mérite de la réussite, c’est également le meilleur choix, sans compter que tout l’argent de la vente revient à l’auteur (sauf contrat particulier avec la maison d’auto- édition qui propose de mettre d'eux même sur des pateformes)

    De plus  il est devenu simple de se faire publier de cette façon, car le numérique facilite le tout sans pour autant être très cher. De plus, avec Internet et en prenant un peu de son temps, on peut parfois faire beaucoup mieux qu’une maison d’édition en récoltant tout le mérite pour soi !

    Je vous conseille également ce site qui vous propose plein d’informations pour faire pas à pas votre auto-publication sans erreur : http://www.syl.vlana.fr/index.php

     


     

    Maison d’édition à Compte d’Edition

     

    Ce que l’on retrouve partout : Le seul vrai contrat d'édition est le contrat à compte d'éditeur.
    L'auteur n'a bien évidemment rien à payer, l'éditeur prenant à son compte l'ensemble de la démarche éditoriale. C'est-à-dire qu'il fait corriger le texte, le met en page, réalise la couverture et s'occupe de la diffusion. Dans ce contexte, l'éditeur a tout intérêt à ce que le livre se vende le mieux possible ! C'est pourquoi les éditeurs ne prennent pas de risque : ils publient ce qu'ils sont certains de vendre le mieux... D’où la réelle difficulté à être publié !

    Ce qu’on oublie de vous dire : Ce que l’on oublie de vous signaler, c’est qu’une maison d’édition, pour prétendre être à compte d’édition, prend à ses frais le correcteur, le graphiste, ainsi que la mise en page. De ce fait, si elle vous demande une somme d’argent pour une certaine quantité de livres, elle a le droit de se faire appeler « maison d’édition à compte d’édition ». Les sommes demandées par ces dernières peuvent aller de 500 euros  à 3 000 euros,  voire plus ou parfois encore vous font payer des petits supléments tel qu'une couverture avec un grasphime et si vous refuser, vous aurez juste une page blanche avec votre titre. Je signale aussi que vous devez également vous payer un correcteur ; le plus souvent, les refus sont expliqués par le simple fait que vous n'êtes pas passé par un correcteur avant, quelle que soit la taille de la maison d'édition. Dans tous les cas, vous avez de nombreux frais à votre charge sans même vous en rendre compte!

    Ce qu’il faut également savoir, c’est qu’ils vous font un contrat à durée déterminée, généralement de deux ans,  pour une sorte de période d’essai. S’ils estiment que votre ouvrage ne leur rapporte pas assez d’argent, ils arrêteront de le produire sans discussions !

    Il ne faut pas oublier que le pourcentage gagné sur la vente de votre livre est très maigre. La maison d’édition gagnera environ 25% à 35% du prix du livre et vous, 15% seulement  si vous êtes chanceux, sinon ça peut descendre jusqu’à 5%. Tout le reste de l’argent revient de droit à la maison d’édition sous le prétexte qu’ils engagent plus de frais que vous.

    J’ai également entendu de la part de certains auteurs que des maisons d’édition à compte d’édition ne les payent pas, alors qu’en dédicace, ils auraient facilement vendu, à eux seuls, plus d’une centaine de livres.  Malheureusement, ils n’auraient aucun moyen de porter plainte à cause de la complexité du contrat ainsi que des tournures de phrases. Donc, même s’ils sont peu nombreux, méfiance….

     

    Mon avis :Il est évident que si on veut une garantie au niveau de la mise en librairie de son ouvrage, c’est la bonne solution pour le simple fait que les maisons d’édition à compte d’édition gagnent leurs argents sur la vente de vos livres. Toutefois, il ne faut pas oublier que ces gens pensent plus à l’argent qu’ils vont se faire sur votre dos qu’à vous-même, et s’ils estiment que vous ne leur rapportez rien, soit ils vous refusent d’emblée lors de la validation de votre manuscrit, soit ils vous jettent après essai, sans oublier ce que les trois auteurs m’ont signalé dans le dernier point ci-dessus, mais après qui ne tente rien n'a rien.

    Exemple de maison d'édition à compte d'édition : Edition Editis, Edition France loisir, Edition bscpublishing

    Maison d’édition à Compte d’Auteur

     

    Ce que l’on retrouve partout : l'éditeur n'en est alors pas un, mais c’est plutôt un prestataire de services puisqu'il fait payer à l'auteur un certain nombre de choses.
    Attention, les pièges sont nombreux et les arnaques fleurissent !
    Un prestataire de services doit être clair, surtout sur ce qu'il propose. Par contre, puisque l'éditeur est payé par l'auteur, il est évident qu'il n'a aucun intérêt à payer un diffuseur pour mettre les livres en rayon. Dans le cadre des comptes d'auteur, c'est bel et bien l'auteur qui doit faire le travail !
    Et pourquoi pas ? De nombreux auteurs vendent uniquement dans les salons. Le tout est de le savoir et d'être clair sur ce que l'on attend du prestataire et sur ce qu'il propose !

     

    Ce qu’on oublie de vous dire : Ce qu’on oublie de dire, c’est qu’on généralise trop ce genre de maison d’édition et que l’on met  tout le monde dans le même sac comme c’est souvent le cas dans un grand nombre de situations. Malheureusement, comme ils gagnent de l’argent principalement grâce à vous, vous n’avez aucune réelle  garantie d’être dans une librairie pour la simple raison qu’il leur suffit de vous demander de l’argent pour en avoir, donc qu’il y ait de la vente ou pas, ils s’en fichent. De plus, ce genre de maison d’édition prétend offrir plus de chance aux jeunes auteurs, c'est vrai dans le sens ou il accepte facilement tout le monde.

    Personnellement, je définirai qu’il existe deux types de maison d’édition à compte d'auteur ; ceux qui profitent totalement de ce titre pour arnaquer les gens et ceux qui font plus ou moins leur travail comme il se doit.

    Type Un :Ce sont des maisons d’édition qui vous arnaquent sans scrupule. Elles se font passer pour des maisons d’édition qui publieront votre ouvrage alors qu’en réalité, rien ne sera fait. Malgré un contrat, il n’y aura aucune correction de faite, un graphisme médiocre et vous n’aurez chez vous que les quelques exemplaires que vous aurez vous-même payés. Vous ne serez dans aucune librairie, que ce soit en magasin ou en ligne sur Internet, et personne n’aura la possibilité de commander vu que le titre « maison d’édition » ne sera qu’une façade. De plus, vous ne gagnerez rien sur les soi-disant ventes étant donné qu’il n’y en aura pas et ils trouveront une excuse bidon à vous faire avaler jusqu’à ce que vous vous rendiez compte que vous vous êtes fait arnaquer.

    Il est facile de reconnaître ce genre de maison, car ils sont souvent très petits et pas connus du tout.

     

    Type Deux :Ce sont des maisons d’édition à compte d’édition qui l’ont fait par choix. Ils vous font payer un correcteur, le graphiste ainsi que les épures ; malgré ça, vous serez dans quelques librairies en ligne, magasins, et on peut vous commander facilement.

    Pour savoir si vous avez affaire à ce genre de maison d’édition, vous devez effectuer quelques vérifications obligatoires afin d’être sûr que ce n’est pas une maison du type Un et que vous ne vous faites pas arnaquez:

    - Regardez si sur leur site figure une page « presse » (la plupart du temps, c’est souvent le résultat des auteurs, vu que la maison d’édition n’exploite pas à fond leurs réseaux de communication).

    - Prenez l’un des titres puis allez sur google pour voir ce que donnent  les recherches.  S’il vous envoie sur des sites du type Amazon ou Fnac, c’est qu’ils sont réellement en vente en ligne et dans les magasins.

    -  Vérifiez s’ils ont un distributeur signalé. Les librairies commandent via distributeur ; avoir un distributeur signifie souvent être un minimum sérieux. Donc si vous voulez, testez l’un de leurs titres pour voir si on peut les commander en librairie.

    S’ils ont tous les points ci-dessus et seulement tous les points, vous pouvez tenter votre chance avec ce type de maison d’édition (cela revient au même que de se faire auto-publier parfois). Toutefois penser à vérifier par derrière ce qu’ils font (surtout au niveau de leur correcteur ou de leur plage de diffusion) et n’ayez pas peur d’un peu les secouer pour que le travail soit fait, car ils ont tendance à bâcler !

     

    Mon avis :De toutes les manières de se faire publier, c’est celle qui présente le plus de défauts, suite à la mauvaise publicité qu’on lui fait et à la non-garantie de se retrouver dans une librairie (faut le dire c'est rare aussi de se trouver en librairi avec ce type de maison d'édition). Toutefois, comme pour les maisons d’édition à compte d’édition, ils ne pensent qu’à se faire de l’argent sur votre dos, mais d’une autre manière. Même si votre ouvrage ne se vend pas, vous leur avez au moins payé des frais qu’ils n’ont pas eu à payer, de ce fait votre ouvrage présente moins de risques d’être arrêté trop tôt s’il y a faible vente (à condition d’être dans le type deux). Toutefois si vous voulez vraiment tentez avec eux, c'est seulement pour la jouer cool, découvrir ce qu'on ne connait pas avec l'auto-édition et ce faire un carnet d'adresse. Sinon préfèrez l'auto-édition, vous aurez moins de surprise et puis certaine maison d'auto-édition peuvent parfois vous proposez autant qu'une maison d'édition à compte d'auteur...

    Exemple de maison d'édition à compte d'auteur : Je livre mon histoire, Edition Bénévent, Edition Baudelaire, Publibook

     

    Conclusion

    Pour ma part, je ne souhaite plus me faire publier par une maison d’édition. Je me ferai publier par Auto-édition. J'ai travaillé avec une maison d'édition, j'ai discuté avec beaucoup d'autres de toutes catégories (grande, moyenne, petite) et de mon point de vue, l'auto-édition est la meilleure façon si on veut être tranquille, sans avoir de compte à rendre à qui que ce soit, d'avancer à son propre rythme et surtout de le faire par passion. En ce qui me concerne, ce que je n'ai pas aimé, c'est que je me sentais obligée de tout le temps vérifier ce que la maison d'édition faisait, et je sais que ce n’est pas fait pour moi, je n’arrive pas à faire facilement confiance aux gens, surtout qu’on ne peut pas les mettre vraiment à l’épreuve pour voir si ça colle avec vous ou pas. C'est trop de stress inutile. C'est pas faute de ne pas avoir essaye, mais j'arrive réellement pas à avoir confiance à des gens qui ne pense qu'au fric alors que je fais ça par pure passion, et avant tout, pour moi-même. J'aime être entouré de gens passionnés, et c'est comme ça. Je préfère que ça reste seulement et uniquement de la passion.  Je préfère courir la toile pour avoir en retour, un petit quelque chose (ex : com d'avis, vente de livre, etc...). je trouve ça plus gratifiant qu'un "oui" d'une maison d'édition, car, pour moi, lorsqu'on écrit, c'est pour être lu et c'est tout!

     

    Donc par choix, je ne me ferai plus qu'auto éditer lorsque j'en aurait les moyen afin de partager mes écrits avec ceux qui le désire en version papier.

     

    Merci à vous d'avoir lu cette article en espèrant que cela profitera à beaucoup, car j'ai fait d'énorme recherche pour le faire afin de ne pas écrire n'importe quoi et rester dans le vrai.


  • Commentaires

    1
    Spox
    Samedi 1er Mai 2010 à 14:50
    C'est bon à savoir, merci ;).
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    2
    Spox
    Samedi 1er Mai 2010 à 14:50
    C'est bon à savoir, merci ;).
    3
    Paul
    Mardi 4 Mai 2010 à 18:58
    Aie aie aie ! Quelle méconnaissance du monde de l'édition ! Par ailleurs, je pense qu'on ne peut être écrivain en ayant trop de lacunes en orthographe et en grammaire.
    4
    eroine1 Profil de eroine1
    Mardi 4 Mai 2010 à 19:11
    dsl de dire ça mais ton com ne sert à rien!

    1 : tu dis que j'ai une méconnaissance du monde de la maison d'édition donc tu dis que mes 5 mois de recherche avant de choisir ma maison d'édition et inutile que tout les poste, site ou autres que je me suis parfois fait chier à lire histoire d'avoir un max d'info est erronée? Je suis désoler mais ce que j'ai écrit n'est ni plus ni moins que ce que j'ai lut et compris. de plus je me suis pas mal renseigner sur des gens qui se font publier et qui sont passer par les trois façon de faire donc je pense que je sais de quoi je parle. de plus toi même tu n'as pas été foutu de me dire ce qui n'allait pas!

    2 : Pourquoi quelqu'un qui n'est pas un champion en français aujourd'hui ne peut pas être écrivain? Donne moi une seul et bonne raison et valable puis dans ce cas je ferme ce site et j'arrête décrire! Moi au moins j'ai la fierté de dire que je ne fais aider par personne même pas une prof ou autre! de plus à ce que je sais, si je regarde mon évolution dans ce domaine mes lacune comme tu dis, ce corrige tout les jour, donc d'ici quelques années il se peut que je ne fasse plus que quelques fautes (ba oui on ne peut pas avoir un 0 fautes (à moins qu'un texte soit passé entre quelques mains puis quelques machines diverse car jamais rien n'est parfaits et encore pas sur).
    5
    Spox
    Mardi 4 Mai 2010 à 19:15
    N'écoute pas ce genre de personne Eroïne. J'ai appris à ne pas les écouter, et ne faire confiance uniquement en ma personne. Ce sont des gens jaloux, bien que ce qui te disent puisse te blesser, il ne faut pas leur porter un intérêt.

    Amicalement.
    6
    eroine1 Profil de eroine1
    Mardi 4 Mai 2010 à 19:31
    ouia merci mais on va dire que j'ai déjà eu une journée de merde au boulot alors c'était pas vraiment le truk que j'aurais du lire.

    merci à toi ^^

    de toute façon c'est pour ça que j'ai dit que c'était inutile sont truk car je sais que j'ai des lacune vu que j'ai le post "Edit" pour dire quand je corrige ou recorrige histoire de corriger encore et toujours le plus que je peux mes fautes constamment pour en avoir au fur et à mesure le moins possible.

    mais bon après comme tu les dit, il y a les con qui reste con!
    7
    Spox
    Mardi 4 Mai 2010 à 20:38
    Bah, tu sais, personne n'est parfait et tout le monde critique les autres. Je ne comprends pas du tout les gens.

    On m'a posté un commentaire sur mon blog il y a longtemps, me disant que c'était de la merde et que je ne devais pas continuer, etc... Bref, j'avais eu une bonne journée pourtant, mais ça m'a tellement vexé que je me suis emporté... Et pourquoi au final ? Pour rien. Je me suis reprit, me disant que c'était des gens jaloux qui disaient cela et uniquement des gens jaloux.
    8
    eroine1 Profil de eroine1
    Mercredi 5 Mai 2010 à 17:48
    bon à la limite si on me dit quel quelque chose n'est pas bien et qu'après on me dit pourquoi ne n'ai pas pur habitude de le prendre mal, vu que chacun à ses goûts et après on n'a le droit de ne pas aimer. Et si on me dit pourquoi ça peut aussi par après me permettre de savoir comment mieux cerner mes lecteur pour les écrit à venir ou alors pour mes correction. ^^

    Mais j'avoue comme toi qu'il m'est aussi parfois arrive de m'emporte sur des connerie qui ne sert à rien, mais ce n'est pas pour autant que je sup les message car je pense que tout le monde à aussi le droit de penser ce qu'il veut même si sur le coup ça nous fait chier.
    Et puis comme tu le dis on à aussi droit parfois à des gens jaloux qui dise des choses juste pour faire mal.
    9
    Dendrite
    Dimanche 24 Juillet 2011 à 20:54
    Il y a plusieurs erreurs dans cet article, que je me permets de vous signaler amicalement : -"La maison d’édition gagnera environ 25% à 35% du prix du livre" Non. La maison gagne environ 15% en moyenne, sur lesquels 5 % sont des frais de fonctionnement. Dans beaucoup de cas, donc, son bénéfice est inférieur à celui de l'auteur. - on parle d'édition "à compte d'éditeur" et non pas "à compte d'édition" - parmi les trois éditeurs que vous citez pour l'édition à compte d'éditeur, le premier est un groupe d'édition, qui ne publie donc rien sous son propre nom ; le deuxième est un éditeur par club du livre, qui publie peu voire pas de nouveautés mais qui rachète des contrats à d'autres éditeurs. Quant au dernier, c'est un imprimeur à la demande, et pas du tout un éditeur. - "C'est pas faute de ne pas avoir essaye, mais j'arrive réellement pas à avoir confiance à des gens qui ne pense qu'au fric alors que je fais ça par pure passion, et avant tout, pour moi-même." Interroger trois amis, c'est un peu maigre pour se faire un avis sur le monde de l'édition. Tous les éditeurs "pensent au fric", en effet, parce que c'est leur métier (les boulangers et les chômeurs, eux aussi, pensent au fric) ; mais il y en a beaucoup qui pensent aussi à la littérature, aux écrivains, aux beaux livres, aux belles histoires etc. Dommage que vous n'ayez pas poussé vos recherches jusqu'à en croiser un ou deux ;)
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